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Blonds (1997)
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Oui, blonds, ils étaient blonds, blonds ? Que tu mécrivisses<o:p></o:p>
Ta ferveur, jeus pleuré, mais de mon cur fendu<o:p></o:p>
Perlait la libido : tes cuisses écrevisses !<o:p></o:p>
Et ta bouche mouillée au fard rose, fondu !<o:p></o:p>
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Mais je garde en mon sein bien plus que les muqueuses,<o:p></o:p>
La toison grisante oh ! qui dans lair délassait<o:p></o:p>
Ses arabesques dor ; tes pupilles moqueuses<o:p></o:p>
Ne le surent jamais : CELA ME DEPASSAIT.<o:p></o:p>
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Ton parfum : « sans issue » ? Et quand dans lindolence<o:p></o:p>
Dun songe je soufflais : « ta crinière je veux »,<o:p></o:p>
Tu ne voyais en moi quun sotte insolence,<o:p></o:p>
Alors que je rêvais docéans de cheveux <o:p></o:p>
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blonds, Blonds, BLONDS. Je nageais très loin de leurs rivages,<o:p></o:p>
Plaquant mille baisers sur chaque fil sucré<o:p></o:p>
(Leur laque ou ta maîtresse ?) et déjà les ravages<o:p></o:p>
Du réveil brisait tout mon rêve sacré.<o:p></o:p>
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Pourquoi ? Je oh ! un fil ! le ciel bleu nous martèle ;<o:p></o:p>
Les coquelicots, blonds ! mes yeux étiolés<o:p></o:p>
Gonflés de sanglots, blonds ! Oh ! la langueur mortelle !<o:p></o:p>
Ton parfum « Vol de nuit », blond les soirs étoilés ?
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Commentaires
1Pev poemeMardi 14 Mars 2006 à 17:35A propos d'oc?, as-tu essay?es belons ?Répondre
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