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    Préface de Gilles Verlant:<o:p></o:p>

    <o:p>"Dimitri DEFRAIN manie les mots comme Ascanio SOBRERO la nitroglycérine.
    Certes POE, GAINSBOURG et NABOKOV sont à portée de chevrotine, mais l’oiseau s’envole en liberté, sain et sauf, quoique miné par le spleen, la névrose, les funestes obsessions.
    Puis il nous lâche ses « scuds » en travers de neurones que l’on croyait anesthésiés et qui d’un coup vibrent et s’émoustillent. Résonance des syllabes, écho des images, on se laisse emporter par l’écume de ses rêveries anthracite.
    Pourquoi les filles s’ingénient-elles à nous briser le cœur ?
    Pourquoi l’amour s’enfuit-il, évanoui, désintégré en un spasme haineux, alors qu’on le croyait indestructible ?
    Mais le poète s’en moque et s’en va, sautillant au bord de l’abîme, en fredonnant les « pou-pou-pidou » de Norma Jean BAKER, dite Marilyn MONROE."

    Gilles Verlant
    7 écembre 2008 
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