• Dimitri Defrain vous connaissez?
    Baudelaire, Rimbaud, Gainsbourg, Frédéric François, les plus grands se sont inspirés de lui! 

    Image Hosted by ImageShack.us

    Auteur d'une trentaine de poèmes qui puent des pieds

     

    Recueil "Poupouppidou", préface de Gilles Verlant, disponible ici :

    http://www.flammesvives.com/ 



  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    <o:p></o:p> 

    Tous mes membres brisés ce soir se sont grisés,<o:p></o:p>

    Dans de doux vins divins pour noyer ma grisette …<o:p></o:p>

    Hé ! Docteur ! ses yeux verts ! Gris ? - De grâce, lisez<o:p></o:p>

    Ces vers déliquescents à ma tendre Lisette :<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    « Ma camisole usée étrangle un coeur miné<o:p></o:p>

    Car je rêve Lisou de te faire minette,<o:p></o:p>

    Mais tressaille soudain, le corps tout bâillonné,<o:p></o:p>

    Qu’un infirmier transperce avec sa baïonnette !<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Hep! mon cerveau givré que l’on va lessiver,<o:p></o:p>

    Adule tes seins chauds, plus doux que les civettes<o:p></o:p>

    D’Afrique ! Et las j’attends, amoureux à crever,<o:p></o:p>

    De les éplucher comme, oh ! de roses crevettes ! »

     

    <o:p></o:p> 


    4 commentaires
  •  

    Disponible ici : http://www.flammesvives.com/

    Préface de Gilles Verlant:<o:p></o:p>

    <o:p>"Dimitri DEFRAIN manie les mots comme Ascanio SOBRERO la nitroglycérine.
    Certes POE, GAINSBOURG et NABOKOV sont à portée de chevrotine, mais l’oiseau s’envole en liberté, sain et sauf, quoique miné par le spleen, la névrose, les funestes obsessions.
    Puis il nous lâche ses « scuds » en travers de neurones que l’on croyait anesthésiés et qui d’un coup vibrent et s’émoustillent. Résonance des syllabes, écho des images, on se laisse emporter par l’écume de ses rêveries anthracite.
    Pourquoi les filles s’ingénient-elles à nous briser le cœur ?
    Pourquoi l’amour s’enfuit-il, évanoui, désintégré en un spasme haineux, alors qu’on le croyait indestructible ?
    Mais le poète s’en moque et s’en va, sautillant au bord de l’abîme, en fredonnant les « pou-pou-pidou » de Norma Jean BAKER, dite Marilyn MONROE."

    Gilles Verlant
    7 écembre 2008 
    </o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>


    1 commentaire


  • votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires